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Un PPVR sur le Brestoâ, ça vous dis ?!
Alors n’hésitez pas ! Prenez vos billets pour une remontée de l’Aulne maritime au départ de Brest.
Pendant que vous dégusterez de la bière locale de Térénez, des huitres et le fameux PPVR, vous aurez comme décors l’île ronde, le Bindy, le cimetière des bateaux militaires, l’abbaye de Landévennec et le pont de Térénez.
Laurent Férec, capitaine du Brestoâ et son associée Gwenn Le Doaré voulaient rendre ce genre de balade en mer accessible aux locaux pour qu’ils découvrent les richesses de leur région. Et il est vrai qu’au vu des tarifs et des différentes balades proposées, il ne pas hésiter à se jeter à l’eau !
Un grand merci à tout l’équipage pour leur accueil et leur gentillesse.
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Petit passage express sur l’autocross de Guiclan (1h). Malgré un joli tracé et des pilotes prêt à en découdre ; la pluie et l’arrêt des courses ce matin dû à une piste rendue trop grasse et dangereuse ont eu raison de ma motivation.
Je ramène tout de même quelques images…
Je n’ai pas dit mon dernier mot et je reviendrai sur une étape du Breizh Cross Tour !
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Et voici une petite sélection de quelques images de cette 35 ème édition du Tro Bro leon 2018.
1 LAPORTE Christophe
2 GAUDIN Damien
3 MANNAERTS Jelle
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Retour en images sur le trimaran Macif. Cette formule 1 des mers qui a permis à François Gabart de faire le tour du monde en solitaire en un peu plus de 42 jours.
Félicitations à toute l’équipe et encore BRAVO !
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Extramerestre est le superlatif qui a été principalement retenu pour qualifier ce qu’a fait François Gabart en battant le record de Thomas Coville de près d’une semaine. On pourrait en utiliser tant d’autres tellement l’exploit est de taille !
A en voir la cellule de vie spartiate du MACIF, il est déjà difficile de pouvoir s’imaginer vivre à l’intérieur quelques jours. Alors y faire le tour du monde…. Impressionnant !
François est arrivé effondré de fatigue, ces bateaux demandent un engagement total et on se doute bien qu’il a tout donné !
L’énergie humaine dégagée par les personnes qui sont venus pour lui ainsi que l’adrénaline l’aident à tenir le coup. Il dit que la transition est brutale mais qu’il aime les retrouvailles et qu’il a aimé cette interaction avec les gens durant son tour du monde.
Il a également trouvé super intéressant de se battre contre un temps et non contre un concurrent. L’exercice auquel il n’était pas habitué, mais qu’il a qualifié d’humainement super intéressant, difficile et ingrat.
Des moments de peur durant ce record ? Oui son passage près d’un iceberg. S’il lui arrive quelque chose ça craint vraiment car avant qu’un navire ne le récupère il peut se passer plusieurs jours voire semaines…. Sinon pour lui dans l’action pas le temps d’avoir peur.
Il revient de ces 42 jours de mer avec un bateau qu’il qualifie en très bon état. Sous réserve bien entendu du contrôle structurel de l’équipe technique. Il a merveilleusement bien tenu, et à le voir il ne semble pas avoir fait le tour de la terre. Il est fier de son bateau et du travail effectué par l’équipe.
Il se doute que son record sera battu un jour, avec l’amélioration des prévisions météo et le potentiel des nouveaux bateaux à venir…
Mais en attendant Monsieur Gabart a frappé un grand coup !
François tu nous as fait rêver pendant ces 42 jours 16 heures 40 minutes et 35 secondes !!!
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